SOMOS.arquitectos collaborates with Estudio CARME.PINOS to coordinate execution project for 96 social units in Saint-Dizier (France). Tasks included overseeing the architectural aspects of the development of the design, production of the construction documents and specifications (APS/APD/PRO/DCE).
PARTI ARCHITECTURAL ET URBAIN
Le projet se développe autour de l’idée de former une petite communauté. Les bâtiments prennent forme dans une volonté de créer un espace public.
Une place centrale les bâtiments et les met en relation avec le projet de logements de la rue Godard Jeanson. Ainsi le décalage entre les édifices en plan a permis d’un côté de créer cette place à caractère urbain et de l’autre de les entremêler à la végétation, donnant lieu à de petits parcs allant vers le fleuve.
Depuis le Parc du Jard, l’ensemble s’intègre avec les arbres et la végétation environnante. Cela, ajouté au mouvement des toitures et au jeu des fenêtres, fait que depuis le centre de Saint-Dizier, cette intervention apparaisse comme un petit quartier plein de vibrations et non comme une intervention monolithique rivalisant avec la nature.
LE CONTEXTE
L’opération s’implante sur le lot 4 du site de l'ancien centre hospitalier dont le quartier fait l’objet d'une démarche "Ecoquartier" et d'un permis d'aménager. Le projet est situé en retrait par rapport à la rue Godard Jeanson et aux logements de l’architecte Jean Paul Deschamps, entre la voies nouvelle "C" et le bâtiment conventuel à l’est et voie nouvelle "D" ainsi qu’un nouvel ensemble de logements individuels à l’ouest.
LE BATI
Le projet est composé de quatre bâtiments, représentant 96 logements en total allant de R+2 à R+4 et défini par la volumétrie de chacun des édifices. Ceux-ci sont ancrés sur une plateforme comprenant les parkings et les caves (sous terrains) et permettent aux espaces extérieurs de conserver leur continuité avec les rues adjacentes et ainsi de renforcer la cohérence urbaine de l’ensemble. C’est donc le résultat d’une double volonté de vouloir créer tant un espace public autour duquel une vie de quartier puisse prendre forme, que d’intégration par rapport à l’environnement dans lequel ils s’implantent.
La forme et la volumétrie particulière de chaque édifice permet ainsi d’avoir une lecture d’ensemble du projet, qui s’efforce de répondre au mieux à la demande tout en créant des logements variés et qualitatifs.
- Les bâtiments seront ainsi recouverts d’un enduit peint en blanc et couvert d’une toiture zinc à joint debout prépatiné naturel.
- Des jardinières en acier de couleur gris foncé rythment la façade ainsi que des volets coulissant sur rail apparent en métal peint d’une couleur gris clair.
Les appartements se développent tous autour de l’idée de relier la cuisine au salon, tous deux articulés par une terrasse. Cette idée, ajoutée à la conviction des avantages d’une circulation transversale de l’air, a configuré la distribution de tous les logements.
PARTI ARCHITECTURAL ET URBAIN
Le projet se développe autour de l’idée de former une petite communauté. Les bâtiments prennent forme dans une volonté de créer un espace public.
Une place centrale les bâtiments et les met en relation avec le projet de logements de la rue Godard Jeanson. Ainsi le décalage entre les édifices en plan a permis d’un côté de créer cette place à caractère urbain et de l’autre de les entremêler à la végétation, donnant lieu à de petits parcs allant vers le fleuve.
Depuis le Parc du Jard, l’ensemble s’intègre avec les arbres et la végétation environnante. Cela, ajouté au mouvement des toitures et au jeu des fenêtres, fait que depuis le centre de Saint-Dizier, cette intervention apparaisse comme un petit quartier plein de vibrations et non comme une intervention monolithique rivalisant avec la nature.
LE CONTEXTE
L’opération s’implante sur le lot 4 du site de l'ancien centre hospitalier dont le quartier fait l’objet d'une démarche "Ecoquartier" et d'un permis d'aménager. Le projet est situé en retrait par rapport à la rue Godard Jeanson et aux logements de l’architecte Jean Paul Deschamps, entre la voies nouvelle "C" et le bâtiment conventuel à l’est et voie nouvelle "D" ainsi qu’un nouvel ensemble de logements individuels à l’ouest.
LE BATI
Le projet est composé de quatre bâtiments, représentant 96 logements en total allant de R+2 à R+4 et défini par la volumétrie de chacun des édifices. Ceux-ci sont ancrés sur une plateforme comprenant les parkings et les caves (sous terrains) et permettent aux espaces extérieurs de conserver leur continuité avec les rues adjacentes et ainsi de renforcer la cohérence urbaine de l’ensemble. C’est donc le résultat d’une double volonté de vouloir créer tant un espace public autour duquel une vie de quartier puisse prendre forme, que d’intégration par rapport à l’environnement dans lequel ils s’implantent.
La forme et la volumétrie particulière de chaque édifice permet ainsi d’avoir une lecture d’ensemble du projet, qui s’efforce de répondre au mieux à la demande tout en créant des logements variés et qualitatifs.
- Les bâtiments seront ainsi recouverts d’un enduit peint en blanc et couvert d’une toiture zinc à joint debout prépatiné naturel.
- Des jardinières en acier de couleur gris foncé rythment la façade ainsi que des volets coulissant sur rail apparent en métal peint d’une couleur gris clair.
Les appartements se développent tous autour de l’idée de relier la cuisine au salon, tous deux articulés par une terrasse. Cette idée, ajoutée à la conviction des avantages d’une circulation transversale de l’air, a configuré la distribution de tous les logements.